![]() |
|||||||||
![]() |
|||||||||
![]() |
![]() |
||||||||
|
|||||||||
DÉBUT DES PHOTOS AUX SUPERPOSITIONS ÉQUIVOQUES RÉVERSIBLES. Les Tapis coco latex, C bleu et C vert à 480 francs, de cette page de catalogue de vente par correspondance forment de belles figures ambiguës. Pour ma part, c'est avec la version bleue que je perçois le mieux la présence illusoire d'un volume, mais certains préféreront l'effet du tapis Louvres (image A, prix bénéfice à 990 francs) qui semble présenter une concavité fictive de ses épaisseurs illusoires.
lI est malheureusement difficile de voir la planéité, pourtant possible, de ces deux figures. Ainsi, parce qu'elle confronte deux orientations inédites, la platitude et la profondeur, cette image formerait une sous-catégorie des figures réversibles. Celle-ci évoque les points de vue non génériques que nous pouvons parfois avoir d'éléments ou d'objets connus. Ainsi, les deux images ci-dessous présentent deux visions d'un cube qui, en raison de l'angle de vue choisi, nous font douter tout autant de sa volumétrie que de sa dénomination. Ces images sont non génériques en ce qu'elles ne renvoient pas de manière simple et sans équivoque au concept de cube.
Mais quelque chose distingue pourtant la photo du catalogue de ces deux supposés cubes. Tandis que les images non génériques tendent souvent à gommer la volumétrie des masses (comme c'est le cas ci-dessus), le Tapis coco latex nous invite à voir une profondeur et un volume qui n'existent pas. Nous tenons peut-être avec cette image le deuxième versant d'une non-généricité appliquée à des volumes.
|
|||||||||
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |