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"Croquis C1 du tableau 16 "
Enfin, par l’extrême difficulté que nous éprouvons à l’imaginer possible, dans un sens ou dans l’autre, la figure C1 se retrouve seule en fin de tableau. Sa vue quasi frontale remplace la traditionnelle fuyante au sol par une juxtaposition des bases. Cette dernière est tellement forte qu’elle en arrive à empêcher la perception de l’échelonnement progressif des volumes. Sa force provient de sa continuité, puisqu’une liaison ininterrompue est établie entre les masses. Pour apercevoir une figure possible, nous devons couper cet enchaînement en imaginant que le volume de droite porte sur son flanc gauche un volume, qui s’élève au-dessus du sol et le dépasse en longueur. Le même raisonnement doit ensuite être appliqué au volume de gauche. Cet enchaînement de supputations explique notre difficulté à envisager la possibilité de cette figure.
Voilà, nous en avons fini avec les figures retournables que nous pourrions tout aussi bien appeler volantes, puisque toutes ces images nous font hésiter entre la vue de volumes posés au sol et celle de formes conjointes soulevées dans les airs. Mais le conflit, qui oppose le contact au sol au contact entre éléments, reste une élaboration théorique secondaire, qui n’atteint pas le mécanisme plastique du passage de l’impossible au possible. Ainsi, de même que nous avons recherché l’origine plastique de l’ambiguïté du Pont, nous allons essayer de trouver celle des superpositions inversées retournables.
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Cliquez sur ce lien pour découvrir la double page du carnet où figure ce croquis. En feuilletant le carnet vers l'avant ou vers l'arrière, vous pourrez découvrir des variantes, qui, en tant que variantes mineures, n'ont pas été intégrées aux tableaux de la classification, et n'ont donc pas donné lieu à analyse.
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