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"Les contacts équivoques de la figure et du fond" |
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1. CITÉS PAR BERNARD DUPRIEZ ALLOGRAPHE (p. 34) : texte transcrit en d’autres mots. “La rue meurt de la mer. Île faite en corps noirs. (la rumeur de la mer. Il fait encore noir).” “Sceau d’eau mégots morts.” “Dans ces meubles laqués, rideaux et dais moroses/ Dans, aime, bleu laquais, ris d’oser des mots roses.” À-PEU-PRÈS (p. 59) : double-sens par déplacement de phonèmes d’un syntagme. “Elle disait toujours que Ben Dollard a une voix de basse bariltonnante. Il a des jambes comme des barils et vous croirez qu’il chante dans le fond d’un tonneau.” MOT-VALISE (p. 303) : amalgame sur la base d’une homophonie partielle. NÉGATION (p. 306) “Nous ne nous rendrons pas à votre invitation “Je ne boirai pas de votre eau de vie, “LÉO -Et ce numéro trois? C’est un mythe? Je veux dire, il n’existe pas?... 2. DIVERS VERS BRISÉS Voir la page consacrée aux Vers brisés 3. IMPLICITE PASTICHE ET PLAGIAT Avec le pastiche et la plagiat, la totalité d'une oeuvre et parfois l'oeuvre entier, est remise en question. Cette remise en question repose sur un élément essentiel de l'implicite du discours : l'énonciateur. Dans les deux cas, la question est bien de savoir : "Qui parle ?", mais chacun poursuit pourtant un but différent. Tandis que le pastiche se moque d'un auteur, le plagiaire se contente de le copier. Tandis que le pastiche est critique en ce qu'il rabaisse l'artiste-démiurge au rang de simple artisan maître d'un savoir-faire, le plagiat, sans le dire et sans l'avouer lui rend un hommage dissimulé.
PLAGIAIRE ET FAUSSAIRE
ANONYMES ET PSEUDONYMES
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