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Décembre 2004 Nous avons avec cette mosaïque une représentation archaïque des Cubes de Beaunis. Car rien en ce décor ne se distingue de la figure publiée par Henri Beaunis au dix-neuvième siècle.
En cette mosaïque, nous avons une nouvelle figure réversible. En effet, le losange blanc peut être perçu comme étant la face supérieure d'un cube vu en plongée ou la face inférieure, d'un bloc aperçu en contre-plongée. Mais en passant, d'une vision à l'autre, de la plongée à la contre-plongée, les deux parallélogrammes (le tacheté noir et le pointillé gris), qui forment les deux cotés du cube passent de la convexité à la concavité. En isolant un losange blanc avec les deux cubes dont il forme une des faces, nous retournons tout d'abord à la Figure de Thiéry. Puis à isoler encore les deux parallélogrammes grisés, nous retrouvons une nouvelle fois le Dièdre de Mach. Ces retrouvailles laissent à penser que le Dièdre de Mach serait la mère, ou pour le moins le dénominateur commun, des figures réversibles. En fait, le Cube de Necker prouve que cela n'est pas le cas. Acceptons cependant de reconnaître que ce dièdre est à l'origine d'une catégorie bien précise et non négligeable de figures réversibles.
BEAUNIS Henri Étienne,Cubes de Beaunis, 1881.
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