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Rue des trois frères, au soleil couchant, tous les poteaux métalliques bordant le trottoir de la rue s'unissent fraternellement, pour former le grand peigne qui pourrait démêler la chaussée parisienne aux pavés bouclés.
Puis, encore, dans une autre rue de Paris, par une autre journée ensoleillée et peut-être même une autre année, un nouveau peigne des rues, qui, vu sous cet angle, semble couper la chaussée en parcelles verticales. Il y aurait donc là aussi du faux contact, le sommet des poteaux semblant venir se fondre dans l'ombre des véhicules.
Et encore ailleurs, un peu plus loin, dans une autre capitale, sous la lumière du soleil... Passant à Madrid en automne, la lumière espagnole vous aurait offert cet autre peigne.
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