![]() |
|||||||||
![]() |
|||||||||
![]() |
![]() |
||||||||
|
|||||||||
DÉBUT DES PHOTOS AVEC DES REFLETS ALIGNÉS Cet alignement équivoque pose un problème à notre classification plastique des ambiguïtés spatiales. Certains reflets, particulièrement ceux des miroirs (Miroir de Paris, Miroir de Tours) mais d'autres encore (tel un Reflet lumineux) ont été considérés comme relevant d'une contiguïté équivoque des plans. Si vous avez la curiosité de regarder ces autres images vous remarquerez que le reflet présent en chacune de ces photographies provient du hors-champ. En ces photos, des éléments extérieurs, par l'intermédiaire d'un miroir ou d'une vitre, font irruption dans le champ de l'image. Ainsi l'ordre logique et attendu des plans dans la profondeur de l'espace s'en trouve bouleversé, donnant lieu à une contiguïté incertaine, inhabituelle et surprenante des plans. Ce qui n'est pas le cas ici, puisque tant le support du reflet que son origine sont présents dans l'image.
|
|||||||||
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |