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L'architecture religieuse n'est pas la seule à devoir subir les assauts des ombres portées. En cette avenue à deux voies qui donne sur le bois de Vincennes, à une certaine heure de la journée par un temps ensoleillé, vous pourriez assister au spectacle de cette illusion qui agrandit l'immense et dédalique villa mauresque construite par Francione en 1905. Là, une terrasse et sa balustrade de briques ajourées viennent porter leur ombre sur le mur et la balustrade d'une autre partie du bâtiment qui les borne. Ce parfait alignement de la balustrade de la terrasse et de la ligne supérieure de son ombre portée laisse tout autant croire à une continuité des surfaces (l'une de briques, l'autre d'ombre) qu'à une identité de leurs orientations. Alors même qu'il est patent que la terrasse s'éloigne de nous vers la droite, tandis que son ombre fuit vers la gauche.
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